Non Censuré

C’est nous les pharmaciens qui venons vous trouver
Du fond des facultés pour vous administrer
Les capotes, les forceps, la poudre à faire bander
Et la vaseline Codex pour mieux faire pénétrer
La pine dans l’con comme un couteau dans l’beurre
Les impuissants baiseront avec ardeur, avec ardeur !
Et si quelqu’un nous traite d’épiciers, oui d’épiciers
Son cul fera connaissance avec nos pieds, avec nos pieds.

REFRAIN :

Baisons, ma mère,
Devant, derrière,
Les p’tites pucelles,
Les vieilles maquerelles,
Les filles de rien,
Les sales putains.
C’est nous les pharmaciens !

Les littéraires sont des andouilles,
Les P.C.B. sont des bizuths, oui des bizuths !
Vingt carabins n’valent pas la couille
D’un pharmacien, c’est bien connu, c’est bien connu !

En marchant, en gueulant, en baisant
C’est nous les pharmaciens…

Et quand plus tard dans nos boutiques
On s’souviendra du bon vieux temps. du bon vieux temps
Où nous bandions raides comme des triques.
C’était l’époque de nos vingt ans, de nos vingt ans.

Les pharmaciennes ont la peau douce
Elles épuiseraient un régiment, un régiment !
Il la leur faut bien de six pouces,
En largeur naturellement, naturellement !

Bien rembourrées devant, derrière,
C’est le propre de nos consœurs, de nos consœurs !
Un bon pilon dans la matière
Ne remplace pas un bon baiseur, un bon baiseur !

Ainsi baisons à tour de rôle
Ca ne sort pas de la maison, de la maison !
Si quelqu’un attrape la vérole
Le 606 aura raison, aura raison !